Esclave à 25 ans d'une Maîtresse diabolique

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 5 ans

J'ai 25 ans et je suis soumis à Isabelle (22 ans). Elle me soumet depuis maintenant presque 4 ans. Nous vivons en couple (nous sommes mariés) mais de temps à autre, quand elle a en envie, je deviens son esclave. Je dis bien un esclave et pas un soumis.

La différence réside dans le fait que la maîtresse respecte certaines limites ou refus du soumis alors qu'un esclave n'a aucun droit sinon celui de remplir tous les caprices de sa maîtresse, de lui procurer le maximum de plaisir sans penser à lui, de la faire jouir et d'accepter d'elle toutes les punitions et les humiliations nécessaires pour se faire respecter. Ainsi l'esclave vénère sa maîtresse telle une déesse et ses limites sont celles de sa maîtresse. Il n'a aucun choix. Alors quand en plus, l'amour s'ajoute à cela c'est très très chaud, sincère et avec aucun tabou.

Heureusement pour moi, les limites d'Isabelle sont bien définies même si quand elle est très excitée par mes cris et mes regards, elle se déchaîne et me fait faire ou subir des choses très dures ou humiliantes. Dans ces cas-là, j'ai souvent de l'angoisse (peur ?) car je n'ai aucun contrôle et l'excitation est alors incroyable et je suis plus que jamais prêt à faire TOUT ce qu'elle voudra. Quelques exemples de ses moments où elle se laisse aller : sucer pour nettoyer le gode après une sodomie v i o l ente, coups avec ses différentes cravaches même sur le sexe (jusqu'à 80 coups une fois, à compter), promenade nu devant la porte d'entrée ou sur le balcon, enlever les pinces avec sa cravache, me laisser attacher serré sans bouger toute une journée (elle me range comme elle dit) et j'en oublie sûrement.

Pour un couple débutant c'est pas mal je trouve. Surtout que à cela s'ajoute évidemment mes obligations envers elle : lui servir à manger, lui servir de repose pied, lui lécher le sexe quand elle veut, lui faire sa toilette intime, boire son pipi et/ou la nettoyer après, lui servir de paillasson, lécher ses pieds et/ou chaussures en signe de soumission. C'est d'ailleurs un grand plaisir en séance quand je n'ai pu la toucher pendant des heures et que finalement j'ai le droit de lécher le bout de sa chaussure. La voir de son sourire moqueur et satisfait de me voir presque jouir de cela me rend fou amoureux et soumis. Nos séances ne durent jamais plus de 1 jour entier, quelques fois la nuit (je comprends ma douleur si je la réveille par mégarde), quelques fois en public (laisse, pinces et gode sous les habits) et ça finit toujours par une baise incroyable ou plutôt un chevauchement de ma maîtresse adorée sur son godemiché bien dressé à ses envies.

Mais elle refuse de faire ça à plusieurs alors que moi j'en rêve. C'est pourquoi un jour elle prend contact sans m'en parler avec une habituée, rencontrée sur le net : maîtresse Valérie. Elle lui explique en détails pourquoi elle va me livrer en pâture à cette maîtresse, ce que je sais faire, ce que je n'aime pas, ce qu'on a pas fait et qu'il faudrait faire et le fameux questionnaire, check-list du soumis. Je dis bien soumis car pour maîtresse Valérie je suis soumis, avec des limites. C'est bien différent, c'est un assouvissement de fantasmes contre une adoration en séance pour mon amour.

Donc un jour Isabelle me prend par surprise comme toujours avec sa cravache. En moins de deux, je suis nu à genoux et me prends trois bonnes claques bien salées pour un regard pas assez baissé. Elle me met une laisse, une pince par sein et par testicule et m'ordonne de m'habiller. On prend sa voiture. Je n'ose pas dire un mot et elle s'amuse à me mettre mal à l'aise en me disant que je vais me prendre l'humiliation de ma vie et que j'ai intérêt à assurer pour ne pas pleurnicher toute la nuit de la punition de ma vie qui ne saurait tarder en cas de refus. Quand elle est comme ça, il vaut mieux obéir sans discuter et mon coeur bat déjà la chamade de peur à l'idée de me retrouver fouetter dans un bois ou faire pipi contre un arbre. Je ne sais pas trop ce qu'elle a en tête. Elle me dit que suis fait pour ça, être son jouet et le pire c'est que je pense la même chose dans ses moments -là.

On prend la direction de la campagne et on arrive devant une ferme un peu isolée. Elle regarde l'heure et l'air satisfait, m'embrasse langoureusement et me dit « amuse-toi bien mon chéri » avec un sourire inquiétant sur le bord de ses lèvres. Elle me dit de me déshabiller dans la voiture, elle prend mes habits, les met sur la plage arrière et me dit de sortir et de marcher à 4 pattes jusqu'à la porte d'entrée et de sonner. Je commence à rouspéter en disant que c'est trop dur de faire ça. Elle me prend alors entre quatre yeux, sa main tournant la pince de mes couilles dans tous les sens : « tu n'en auras peut-être plus jamais l'occasion alors fais-le avant que je change d'avis et que je me fâche vraiment à la maison ». Je m'exécute tout penaud en lui glissant un « je t 'aime » qui la fait sourire. « A demain mon amour » répondit-elle en rigolant. J'adore ce rire dominateur. Elle démarre et me laisse nu sur ce chemin à une dizaine de mètres de la porte, à 4 pattes, avec une laisse autour du cou et des pinces.

m o r t de honte et vraiment angoissé de ce qui va se passer, j'avance sur ce chemin de graviers. Ça fait mal aux genoux et j'ai du mal à avancer. Arrivé à la porte, je me redresse et sonne et attends à 4 pattes la tête baissée avec aucune idée de qui je vais rencontrer et ce qui va m'arriver. Je sais juste que nous sommes samedi, qu'il est 14h00 et que je retrouverai Isabelle demain matin.

Maîtresse Valérie ouvre la porte. Elle me tire fortement les cheveux pour qu'on se regarde dans les yeux. Elle doit avoir une trentaine d'années et elle est assez jolie avec une robe stricte et du maquillage sévère. « C'est qu'il est tout mignon le petit mari ! On a concocté un beau petit programme pour toi». Ainsi je vois qu'Isabelle a tout préparé et a tout arrangé. Ça me rassure un peu qu'elle ne m'ait pas livré sans instructions à une inconnue. Elle me fait entrer en tirant sur la laisse. Elle marche trop vite pour moi, j'ai du mal à suivre à 4 pattes.

Elle tire alors v i o l emment et sèchement sur la laisse ce qui a pour résultat immédiat de m'étrangler (la laisse est une laisse étrangleuse) mais aussi de me faire dépêcher. Un toutou bien obéissant... Elle m'emmène à la salle de bain et me dit de prendre une douche très poussée. Elle m'explique qu'Isabelle lui a donné tous ses droits sur moi, dans les limites qu'elles ont convenu ensemble (mais qu'elle sera plus indulgente pour le tribunal si j'accepte des bonus), qu'elle va me tester toute l'après-midi et me dresser à ses envies pour ensuite servir pour la soirée. « Et lave-toi bien parce qu'il a été décidé que tout ce qui entrera dans ton petit cul d'esclave finira certainement dans ta bouche ». Je ne comprends pas grand chose à son histoire de tribunal, j'angoisse sur les mots bonus et soirée et file sous la douche sans un mot. Je me sèche et la rejoins au salon comme convenu.

Elle procède alors à une inspection approfondie de la marchandise comme elle dit. Elle tourne autour de moi, à 4 pattes sur son tapis. Elle tâte mes fesses, bouge ma tête dans tous les sens en triant sur mes cheveux, inspecte ma queue qui mouille d'excitation (déjà), écarte mon anus etc.... Elle effleure les pinces que je n'ai pas enlevées et tout cela commence à me faire bander. Elle s'en aperçoit et me dit : « ta femme m'a dit que tu étais très motivé mais pas f o r c e ment très résistant. Règle 1 : c'est moi qui décide si tu as le droit de bander ou pas ». Elle me prend alors les couilles et les serre, les griffe, tourne les pinces. Une fois mon seuil de douleur trouvé (j'essaye de serrer les dents et de ne pas crier comme Isabelle aime bien mais j'ai du mal), elle me fait débander par une douleur vive. « Voilà qui est mieux. Elle m'a aussi prévenu que ta queue mouille tout de suite, une vraie gonzesse ». Sur ce, elle me met une ceinture de chasteté. L'avantage pour elle est que je ne vais pas salir son tapis et que dès que je commence à bander, des aiguilles m'en empêchent par la douleur.

L'après-midi qui s'en suit est un dressage en bonne et due forme. Elle me dicte ses règles auxquelles elle tient, comment me tenir dans une pièce quand elle est là, quand elle n'est pas là. Elle m'humilie par une pluie d'insultes abaissantes et de tenues humiliantes. Elle me fait aussi découvrir son donjon et teste ses instruments sur moi en insistant notamment sur les choses que je n'ai jamais pu faire avec Isabelle faute de matériel. Suspension les bras en l'air, barre d'écartement des jambes pour exhibition obscène, croix de St-André, poids aux pinces, un fouet, un martinet, un gode ceinture énorme (je ne croyais jamais que ça allait rentrer), un bâillon gode etc.... Le résultat est un soumis bien obéissant, respectueux et craintif de sa maîtresse intérimaire, rabaissé à l'état de larve, de la pire des salopes. Bref, je me suis fait dresser. Et c'est ça qui me plaît.

Elle m'explique alors le déroulement de sa soirée : « je vais recevoir 4 amis ce soir. Elles (2) et ils (2) viendront avec 2 soumises et un soumis. Comme c'est moi qui invite, je veux que ce soit parfait et c'est pour ça que j'ai vérifié ton potentiel et que je t'ai dressé comme si tu m'appartenais bien que tu ne sois que prêté (n'empêche que j'ai quand même de jolies marques sur les fesses et le torse). Isabelle m'a dit que tu aimais cuisiner, tu vas donc faire le repas selon mes instructions. Tu feras ensuite le service avec les autres soumis. J'ai par exemple ce petit plateau qui s'attache avec des pinces sur les seins. Vous ne mangerez pas, mais resterez bien couchés comme des toutous bien dressés que vous êtes. Vous aurez quelques restes des assiettes peut-être. Ensuite on prendra le dessert dans le salon. La soirée sera bien arrosée. A partir du dessert, vous pourrez commencer à nous distraire. ».

Elle éclate alors de rire, sûrement devant mon air penaud et soumis. « Les dominants habilleront leurs soumises et soumis. Comme l'humiliation te plaît et surtout me plaît, tu seras habillé d'une minijupe et d'une perruque blonde. Tu auras l'air d'une vraie petite pute. Je sais que ça excite mes 2 copines de se faire lécher par mes esclaves de ce style. En plus, un des 2 amis masculins de ce soir adore les vide-couilles de ton genre : plus on les baise et plus on les traite comme des petites m e r d e s, plus ils redoublent d'efforts pour faire plaisir. Et toi j'en suis certaine depuis que je t'ai testé, tu fais partie de cette catégorie ». Je suis m o r t de honte mais j'avoue que ça m'excite, d'ailleurs ma queue souffre le martyr avec cette ceinture de chasteté. « Ensuite, il y aura un tribunal ou plutôt un vote pour décider des punitions ou de la clémence suivant les prestations. Je te conseille donc de te montrer zélé si tu ne veux pas regoûter à mon donjon. Et je te préviens, mes amis ont beaucoup d'imagination et sont aussi sévères que moi ». Elle arbore un sourire inquiétant qui me fait rendre compte de ma situation : je n'ai pas le choix et même si j'appréhende j'en suis heureux car c'est vrai que suis fait pour ça.

Il est 17h30 et les amis de maîtresse arrivent dans une heure et demie. Je suis aux fourneaux et je cuisine : salade, un bon poisson avec du riz, cocktails d'apéro et mousse au chocolat. Je mets la table sous l'oeil critique de maîtresse Valérie. J'ai cuisiné avec un tablier blanc et un plug dans l'anus pour dit-elle, gagner du temps pour le soir. A 18h45, elle m'enlève la ceinture de chasteté (oh que ça fait du bien ! ), me met la minijupe et m'attache les mains dans le dos. Elle passe une corde à la lampe de l'entrée au plafond et l'attache à mes liens dans le dos. En tirant sur la corde, elle m'oblige ainsi à baisser le torse à cause de mes mains qui se lèvent dans mon dos. Elle arrête quand je suis bien courbé et me met une barre d'écartèlement. Je suis ainsi dans le hall d'entrée en exhibition, le cul grand ouvert et attaché par cette « poulie » qui me broie les bras en arrière. « Et maintenant la touche finale ! » dit-elle toute heureuse de son programme en me mettant une affreuse perruque blonde sur la tête.

Coup de sonnette. Il est 19h00 passé. J'entends des voix, des rires, des moqueries sur moi. Je ne vois rien vu que j'ai la tête tournée dans la direction opposée de la porte d'entrée. « Je crois qu'on va bien s'amuser » dit une voix féminine en tripotant mes couilles. « J'adore les petits jeunes , il est obéissant ? ». « Oui ! Une vraie petite larve soumise. J'ai testé, tu imagines ! ». Voilà qu'on parle de moi comme du bétail, comme un jouet sexuel. Je vois enfin les personnes. Il s'agit d'une femme du même âge que maîtresse Valérie avec une soumise d'une vingtaine d'années un peu boulotte, tenue en laisse. Il y a aussi un homme de 40 ans avec une soumise d'une trentaine d'années plutôt jolie. Ding ding. Les dernières personnes arrivent : une femme d'une trentaine d'années avec un esclave mâle du même âge. Il y a aussi un homme seul, la trentaine. En tous cas, tous se connaissent bien et se font la bise, rigolent et discutent comme si de rien n'était. C'est vrai que ma position est tout à fait habituelle après tout...

Maîtresse Valérie dit à ses invités de passer au salon et aux 3 soumis de me détacher et de faire le service suivant mes instructions qu'elle m'avait confiées. On s'habille donc. On garde nos laisses, on met les plateaux avec les pinces, les filles mettent une tenue de soubrette. Moi je dois garder ma tenue ridicule. Je me sens bête là-dedans mais je crois que le but est là. On sert, on débarrasse. L'atmosphère se détend avec l'apéro et les discussions. Chaque esclave est au pied de son maître respectif. Moi, je lèche consciencieusement les pieds de ma maîtresse et de sa voisine. On ne fait pas trop attention à nous. Puis, petit à petit, on se retrouve entre les cuisses de telle ou telle personne. Les 2 gars se font sucer par les soumises et les soumis lèchent les sexes féminins. Après cet apéro à tout point de vue, le repas est servi. Je sers les plats avec la petite boulotte dont c'est la première soirée. Les autres soumis sont sous la table du repas à faire ce qu'ils ont à faire : attendre ou sucer ce qu'on leur présente.

Après le dessert, les invités sont bien chauds et ils décident de tester différentes fessés. La discussion tourne autour la façon de donner une fessée de chacun, des avantages des différents instruments, des différents cris et marques. Bien sûr, la mise en pratique se fait en parallèle et tour après tour, tout le monde s'essaye à marquer les fesses de tous les soumis. Les 5 cravaches de maîtresse Valérie y passent (courte, moyenne, longue avec une longue lanière), son fouet (ça fait très mal, j'en avais les larmes aux yeux et j'ai du prendre sur moi pour ne pas demander pitié), ses cannes, ses ceintures, à mains nues, raquettes de ping-pong. Je vois les fesses de mon collègue masculin complètement v i o l ettes.

Je me dis que je dois avoir les miennes dans le même état car je n'ai jamais reçu de fessés si douloureuses. Je retiens mes larmes, mais j'ai du mal (heureusement que j'ai un bâillon boule dans la bouche). La petite boulotte a beaucoup de mal à tenir le rythme et elle pleure. Sa maîtresse est furieuse et l'insulte de tous les noms. L'autre soumise a l'air expérimenté car elle ne bronche pas et au contraire tend ses fesses à chaque coup pour le plaisir des 5 convives. Par contre, ils sont obligés d'attacher la petite boulotte ainsi que moi-même car on a du mal à rester immobile. C'est très dur, on a du recevoir au moins 40 coups donnés sans hésitation. Je comprends que je ne suis que de la viande, un cobaye à martyriser. Je me sens soumis comme jamais et même si mon corps chauffe et que je suis excité comme jamais, j'ai hâte que ça s'arrête. Je comprends la nécessité des punitions et l'amusement que ça procure mais je préfère les humiliations et servir pour le sexe.

La suite est une orgie phénoménale. Pendant au moins 2 heures, ça a été baise sur baise. Tout d'abord entre soumis et soumise suivant les ordres des spectateurs de plus en plus chauds. Mais interdiction stricte de jouir, il faut se retirer à temps. J'ai ainsi léché les clitoris de mes 2 copines, les anus, sucer la queue de mon collègue et j'ai même eu le droit sur une autorisation spéciale de maîtresse Valérie (c'était prévu par Isabelle, je l'ai su plus tard) de sodomiser la petite boulotte sous les hourras de la foule. J'avais ordre de la défoncer mais j'avais du mal à le faire car je sentais que j'allais jouir tout de suite dès que j'accélérais dans ce petit cul tout serré. Maîtresse Valérie n'était pas contente que je sois incapable de baiser une salope comme un homme et me cria d'arrêter et me traita de tous les noms et que j'avais intérêt à me rattr a p e r pour la fin de la soirée.

Il faut dire que j'ai le sexe prêt à exploser depuis que j'ai sonné à sa porte aussi ! Ensuite elle sortit ses ustensiles (godes ceintures de différentes tailles, pinces, godemichés) et ce fut la partouze. Plusieurs femmes me sont passées dessus (j'ai un carquois en cuir sur le sexe pour durer longtemps), maîtresse Valérie m'a défoncé le cul avec un gode ceinture encore plus énorme que celui de cet après midi et j'ai sucé et sucé tout ce qui passait devant ma bouche et par mon cul. Mon visage était maculé de sperme et j'ai connu « l'honneur » de servir de vide-couilles. Il n'y a pas d'autres mots tellement je me suis fait sodomiser v i o l emment, le sexe entrant complètement, sentant les couilles taper mes fesses ou le sexe toucher le fond de ma gorge et le sentant se décharger au fond. Je n'ai pas compté combien de fois je me suis fait passer dessus, hommes et femmes confondus mais j'avais des crampes à la langue, à la bouche (j'ai même du sucer une queue et un gode ceinture de femme en même temps, ma bouche était difforme et des nausées monstres), l'anus ouvert comme un trou béant, le sexe endolori et du sperme dans les cheveux, le visage, la gorge et le cul. Bien sûr, j'ai joui. Bien sûr, j'avoue que j'ai adoré ça. Je suis fait pour ça, fait pour être au service du plaisir des autres. Jouir était interdit, il m'en a donc été tenu rigueur pour le tribunal. Avant cela, tous les soumis ont du se nettoyer entre eux en se léchant tout le corps. Je n'aime pas lécher le sperme mais j'y fus bien obligé en léchant le sexe, le cul et le visage de mes camarades d'infortune (de fortune plutôt oui ! ! !).

Tout le monde reposé, vint ensuite le fameux vote. Maîtresse Valérie déclara : « on va maintenant voter à main levée pour décider du sort de nos petits soumis. On va les punir pendant que, nous, nous regarderons un bon film pour récupérer. Vous avez droit de voter pour : punition cruelle, punition sévère, punition normale ou félicitations du jury ». Ils rigolèrent bien. Pas nous, en tout cas pas moi, qui était assez inquiet à cause de ma faible résistance à l'épreuve de la fessée, de la sodomie en douceur sur la boulotte et d'autres petits détails. La petite soumise rousse eu les félicitations du jury et ne fut pas punie. Elle eut le droit de rester au salon, je ne sais pas ce qu'elle y a fait mais j'imagine... Le soumis homme eu le droit à une punition normale, c'est à dire 5 coups de chacun avec l'instrument de son choix et de rester attaché allongé sur le sol.

La petite boulotte a gagné le pompon : à l'unanimité c'est punition cruelle. Elle eut le droit à 7 coups chacun, dont le dernier très fort. « Pour bien qu'elle s'habitue à son rôle cette larve larmoyante » selon sa maîtresse qui a vraiment l'air sadique. Elle fut ensuite attachée les 4 fers en l'air, attachée à des chaînes reliées au plafond. ça doit tirer sur les bras et les jambes je pensais au même moment. Ensuite des pinces : 4 sur chaque sein, dont une pince crocodile sur le téton et 3 pinces sur chaque lèvres de son minou, avec des poids pour bien que ça pende. Un bâillon boule pour l'empêcher de pleurnicher. « Quand on reviendra d'ici 1 heure ou deux, on t'enlèvera les poids, on te mettra une pince sur le clitoris et on enlèvera le tout avec ma cravache » dit sa maîtresse. « Comme nous avons aussi conscience que c'est ta première fois en public, même si tu m'as déçue, je laisserai le soin à Maîtresse Valérie de t'enlever les pinces à la cravache car c'est une experte. Avec moi, il y aurait des ratés et ce serait trop difficile à supporter pour toi ». Elles lui ajoutèrent un gode vibrant dans sa chatte pour la soulager. Mais c'est un cadeau empoisonné car au bout d'une dizaine de minutes, ça ne sera pas très agréable, du moins je l'imagine.

Je soupire d'aise en voyant à quoi j'ai échappé même si mon verdict est pas mal non plus : punition sévère. J'ai aussi eu le droit à 7 coups chacun (7*5=35) dont le dernier très fort. Le pire ce fut les messieurs qui tapaient plus forts. Je me suis écroulé plusieurs fois en pleurnichant sous les coups. Mais à chaque fois, je reprenais ma position à 4 pattes, en disant merci, en cambrant le maximum mes fesses pour montrer ma soumission et le plaisir de recevoir ce que je mérite. Je fus ensuite attaché à la croix de St-André et écartelé ainsi contre le mur, on me mit des pinces sur les couilles et les seins (avec des poids pour les seins), un gode vibrant dans la bouche (parce que j'ai du talent et qu'il faut l'entretenir soit disant) et un plug énorme dans l'anus. Heureusement, celui-ci était encore tout dilaté qu'il est rentré sans (trop) de problèmes. Le gode vibrant emplissait toute ma gorge et j'ai eu tout de suite la nausée, surtout qu'il tournait sans arrêt. Plus que 2 heures à tenir je me suis dit. «Tu auras aussi le droit à te faire enlever les pinces à la cravache mais seulement sur les seins. Par contre ce sera Diane qui le fera (la maîtresse de la boulotte). Il faut bien qu'elle s'entraîne ! ». Gros éclat de rire. « Bon, eh bien nous passerons vérifier que vous ne manquez de rien dans une heure ».

Ils coupèrent la lumière et nous restâmes ainsi dans le noir. Seul des bruits étouffés se faisaient entendre de temps en temps. Ça allait être dur deux heures... et cela le fut. Je crois que ma voisine attachée a joui à un moment puis elle s'est tue pour pleurnicher jusqu'à la fin. Moi, au bout d'un moment je ne sentais plus les pinces, la sensation d'écoeurement du gode et de l'excitation (et oui je bandais au début) sont passés. Je pensais à Isabelle et à tout ce que je devrai lui raconter, j'imagine en séance. Et cela lui plaira, lui donnera des idées et on baisera comme jamais pour jouir tous les deux comme jamais. Peut-être même avec plus de confiance, elle m'emmènera elle-même dans une soirée comme celle-là, avec juste un autre couple peut-être pour commencer.

La lumière se rallume. C'est Diane et Valérie. Elles regardent si l'on arrive à supporter. Elles enlèvent quelques pinces pour « bonne conduite » et repartent. J'ai la bouche défoncée et très mal aux seins et aux couilles. Seuls mes fesses toutes chaudes de la fessée, me procurent une sensation agréable. Puis, je perds la notion du temps et je somnole, non pas de sommeil mais de sensation trouble, diffuse, de douleurs, de plaisirs, de rêves. La lumière se rallume de nouveau. Diane et Valérie (les autres sont beaucoup plus spectateurs ou blasés maintenant), mettent leurs menaces à exécution. Valérie montre à Diane comment faire pour enlever les pinces : un coup sec et précis. La petite boulotte, à ma grande surprise, jouit sous les coups de cravache sur sa chatte endolorie. Il faut dire que maîtresse Valérie est experte. A mon tour : Diane rate complètement son coup et aucune pince n'est partie. Je beugle au travers de mon bâillon mais rien n'y fait et elle recommence jusqu'à aboutissement.

Tout le monde se détache, tout le monde repart en félicitant Valérie de la soirée. J'ai même droit à des bisous tout doux sur ma queue et des félicitations. Tout le monde parti, maîtresse Valérie me félicite de mon comportement, de ma résistance et de mon avidité sexuelle. Elle me prend la queue à pleine main et l'agite pour me faire jouir. « C'est ta récompense » me sourit-elle délicieusement. Je jouis au bout de quelques minutes. Ça ressemblait plus à une traite d'animal qu'à une caresse sexuelle mais je suis toujours son soumis. Et puis je suis tellement heureux de jouir «normalement ». Elle m'installe pour la nuit, nu, attaché au pied de son lit et elle s'endort dans son lit à son tour. Elle trouve le sommeil tout de suite et je ne tarde pas à faire de même tellement je suis épuisé et malgré ma position. Tout en m'endormant je rêve à Isabelle, combien je l'aime de m'avoir offert ce cadeau, et le plaisir que l'on aura tous les deux quand je lui raconterai à genoux tout penaud les moindres détails.

Le lendemain, elle me détache, me dit de lui préparer son petit déjeuner. J'ai le droit à un bol de lait froid. A laper comme un chien bien sûr. Elle me demande de m'habiller en soubrette comme les filles d'hier et de ranger et de passer l'aspirateur pendant qu'elle fait sa toilette et range la cuisine. Je m'exécute. Je n'ai même plus conscience de mon ridicule, de soumis domestique et de ma tenue.

Il est midi ce dimanche. Isabelle arrive. Elle est tellement belle. Elle éclate de rire en me voyant passer l'aspirateur dans cette tenue et passe au salon avec Valérie. Elles discutent de la soirée, de moi. Elle lui donne des conseils et des idées car, selon Valérie, elle a « du matériel très prometteur. Si tu t'y prends bien, tu auras le plus soumis des maris». Isabelle est un peu excitée de tout ça (je le sais quand elle l'est) et décontractée maintenant (elle était un peu tendue en sonnant à la porte). Après avoir entendu des éclats de rire multiples de mes deux maîtresses et quand j'eus fini ma besogne, maîtresse Valérie me remit à ma propriétaire. Isabelle fut un peu impressionnée par les marques sur les fesses : « je n'hésiterai plus à y aller fort pour me défouler mon chéri désormais» et moi très fier d'avoir été digne de sa confiance. On se dit au revoir et on rentre à la maison en parlant de choses complètement différentes comme si rien ne s'était passé. Mais je lis à son regard, qu'une fois le seuil de la maison franchi, je vais avoir droit à raconter un beau récit et sucer un beau minou tout trempé jusqu'à l'étouffement avec notre belle laisse autour du cou...

Isabelle et moi existons vraiment et nous avons une relation comme celle décrite en début d'histoire. Un jour, j'aurai le plaisir de vivre une soirée comme celle chez cette maîtresse Valérie fictive, avec je l'espère Isabelle à mes côtés. Si vous voulez nous écrire pour des conseils, des idées ou des propositions, n'hésitez pas, nous serons ravis de vous renseigner. En tout cas je ferai parvenir les messages à Isabelle, car moi je n'ai rien droit de dire. Et j'en suis ravi !

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